Livres / L'éducation des enfants et les bases de leur formation (arabe/français) تربية الاولاد واسس تأهيلهم

L'éducation des enfants et les bases de leur formation (arabe/français) تربية الاولاد واسس تأهيلهم

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Fiche technique :

Auteur : Sheikh Mohamed Ali Ferkous

Editeur : Ibn Badis

Format : 21 x 15 cm

Langue : Français/Arabe

Nb de page : 40



Description :

Puisque l'enfant est le centre du processus éducatif, il est donc impératif que sa vie et son esprit soient bâtis selon la forme qui lui a été élaborée et avec les différentes connaissances et concepts qu'il reçoit et qui lui sont inculqués. Cela, pour qu'il puisse maîtriser son esprit et ses idées afin qu'il n'ait de conception théorique dans la vie que celle-ci lui est voulue utiliser dans ses observations et ses expériences, suivant ce qu'il a appris ou ce dont il s'est exercé et ce qu'on lui a enseigné.

Complément :

A propos de l'auteur : 

C’est le cheikh Abou Abd El-Mou`iz Mohammed Ali Ben Bouzid Ben Ferkous El-Koubi, par rapport à « El-Kouba El-Qadîma » (Vieux Kouba) à Alger (La capitale) qui est son lieu de naissance le : Jeudi 29 Rabia al Awal 1374 de l’Hégire, correspondant au 25 Novembre 1954 au même mois et année de déclenchement de la guerre de libération en Algérie contre l’occupant français.

L’éducation du Cheikh :

Le cheikh Abou `Abd El-Mou`iz a avancé progressivement dans sa quête des sciences à l’école – premièrement – de la façon traditionnelle en apprenant le Noble Coran et un certain savoir des sciences fondamentales dans une école coranique par le cheikh Mohammed Es-Seghir Mâalam, puis il a rejoint les écoles modernes où il finit ses études lycéennes. Et comme il n y’avaient pas en son temps des facultés ou hauts instituts pour les études islamiques, il a rejoint la faculté de droit et d’administration, qui était la plus proche de ceux-ci par son enseignement de quelques modules en rapport avec la charia. Il y finit ensuite ses études.

Pendant ses études, il avait  un ferme désir et un intense penchant de demander plus de savoir religieux, et de le maîtriser, ALLAH Le Très Haut l’honorât alors d’être accepté à l’Université Islamique de Médine, il put alors trouver ce dont il avait besoin en ce paisible pays. Il a bénéficié durant la période de ses études de professeurs et savants généreux –que ce soit à l’université islamique ou à la noble mosquée du prophète-  par les fréquenter souvent et en assistant à leurs leçons, comme le cheikh : `Atia Ben Mohammed Salim- qu'Allah lui fasse miséricorde- cadi au grand tribunal de Médine, dans son explication du Mouwatta' de l’imam Mâlik -qu'Allah lui fasse miséricorde- , le cheikh Abd El-Kader Ben Cheïba El-Hamd, professeur de la jurisprudence islamique et des fondements de la jurisprudence (Oussoul El-Fiqh) dans la faculté de charia, le cheikh Abou Bakr Jâbir El-Djazâiri, le prédicateur à la Mosquée du Prophète, et professeur d’exégèse (Tafsir)  à la faculté de charia, le cheikh Mohammed Mokhtar Ach-Chanqîti- qu'Allah lui fasse miséricorde- professeur d’exégèse à la faculté de charia, et enseignant des livres de la sunna à la Mosquée du Prophète, le cheikh `Abd Ar-Raoûf El-Labadi, professeur de langue arabe (grammaire et conjugaison) à la faculté de charia et autres. Il a également tiré profit des discussions scientifiques  des thèses universitaires que les professeurs et cheikhs discutaient , ainsi que les conférences que d’éminents savants tenaient, tels Abd El-Aziz Ben Abd Allah Ibn Baz- qu'Allah lui fasse miséricorde- et le cheikh Hemmad Ben Mohammed El-Ansâri- qu'Allah lui fasse miséricorde- et autres. Puis il revint en Algérie en 1402H/ 1982. Il était parmi les premiers professeurs à rejoindre la faculté des sciences islamiques où il a été accepté officiellement cette même année. On lui a plus tard assigné la direction des études et de la programmation. Il est allé plus tard vers l’université de Mohammed Cinq de Rabat –Maroc- dans l’intention de se consacrer au parachèvement de sa thèse de doctorat qu’il a plus tard transféré vers Alger la capitale. C’était la première thèse de doctorat d’état à être discutée à Alger dans le domaine des sciences islamiques. Il est toujours dans la même faculté où les étudiants tirent profit de lui à l’intérieur de l’université et à l’extérieur.

Les œuvres du Cheikh :

Le cheikh – qu’Allah le protège – a des œuvres scientifiques publiées aux éditions étrangères et algériennes et deux séries de jurisprudence (Fiqh). Ses livres et ses thèses se caractérisent par leur style réfléchi, entre style fondamentaliste (des auteurs des fondements de la jurisprudence)  et style littéraire. Ses expressions sont scientifiques, précises et cohérentes, loin de la complication terminologique et du chauvinisme doctrinal (du madh-hab).

Parmi ses œuvres et épîtres :

1. Taqrîb El-Woussoûl Ila `Ilm El-Oussoûl (Le Rapprochement des Sciences des Fondements de la Jurisprudence), Abou El-Qâsim Mohammed Ibn Ahmed Ibn Djouzaï El-Kalbi El-Gharnâti, mort en 741 H, la maison d’édition El-Aqsa - le Caire 1410 H.

2. Dhawou El-Arhâm Fi Fiqh El-Mawârîth (La jurisprudence (Fiqh) de l’héritage concernant les liens de consanguinité) - maison d’édition Tahsîl El-`Ouloûm 1407 H correspondant à 1987.

3. El-Ichâra fi Ma`rifat El-Oussoûl Wel-Wadjâza Fi Ma`na Ad-Dalîl, par l’imam Abou El-Walîd El-Bâdjî, mort en 474 H - La Bibliothèque de la Mecque en Arabie Saoudite -

4. Miftâh El-Woussoûl Ila Binâ' El-Fourou` Ala El-Oussoûl, suivi par Mathârât El-Ghalat Fi El-Adilla (les preuves qui induisent en erreur), par l’imam Abou Àbd Allah Mohammed Ibn Ahmed El-Hassani Et-Tilimsâni 771H/  1307 – l’établissement Ar-Reyyâne, la première édition 1419H/ 1991, maison d’édition Tahsîl El-`Ouloum 1420H/ 1999.

5. Moukhtârât Min Noussoûs Hadîthiyya Fi Fiqh El-Mou`âmalât El-Mâliyya (Sélections de Textes des Hadiths des Transactions Monétaires) - maison d’édition Ar-Raghâ'ib wan-Nafâ'is 1419H/ 1998.

6. Fat-h El-Ma'moûl Fi Charh Mabâdi' El-Oussoûl,(L’Aboutissement à l’Explication des Bases des Fondements (de la jurisprudence islamique)) par le cheikh `Abd El-Hamîd Ibn Bâdîs, mort en 1359 H - maison d’édition Ar-Raghâ'ib wan-Nafâ'is, première édition :1421H/ 2000.